Tests produits et applis

Voici une adresse londonienne qui va plaire aux gourmands et à tous ceux qui ne sont pas encore sortis de l’enfance… le Cereal Killer Café ! Pour résumer : un endroit dans lequel tu peux manger des céréales du monde entier dans un décor régressif à souhait.

Plusieurs fois sur les réseaux sociaux, j’ai vu passer cette adresse gourmande qui m’a tout de suite intriguée parce que figurez-vous que je suis grande fan de céréales. Que j’ai déjà payé très cher pour recevoir des Lucky Charms du Canada (quand il y avait pas encore toutes ces épiceries de produits américains). Que si vous m’amenez une boite de céréales, je considère ça comme un vrai cadeau et il est possible qu’elle soit dévorée en un repas.

Bref, j’ai profité d’un aller-retour express à Londres pour donner rendez-vous à une amie au Cereal Killer Café de Shoreditch, après deux heures de chasse au street-art dans le quartier. J’entre et déjà, je suis ravie par le décor. L’endroit est petit mais il y a des boites de céréales partout, de tous les pays, et ça donne sérieusement envie d’en récupérer quelques-unes au passage 🙂

Sur le mur, on retrouve tout le choix pour se faire son bol de céréales. D’abord, on choisit les céréales (de france, des usa, d’angleterre…), ensuite, son lait (oui, parce qu’il y a du lait standard mais aussi du lait de coco, du lait de soja, du lait noisette… ) et enfin tes toppings (des fruits, du chocolat…). Il y a aussi des cocktails céréales tout prêts si vous n’avez pas d’inspiration^^

Pour tout vous dire, c’était assez difficile de faire son choix mais je n’ai pas résisté aux Lucky Charms et aux OREO mint <3 L’amie qui était avec moi a pris des céréales d’Israël, des Milbo choco, et elle avait bien aimé.

Au passage, j’ai été vraiment très gourmande car j’ai craqué sur une nouveauté : le Stacked Salted Caramel Hot Chocolate, soit le chocolat le plus « messy » que vous avez probablement jamais vu de votre vie (dedans : millionaire shortbread/flake/lion cereal/nutella/cream/toffee sauce). Mamamia, c’était juste délicieux !! <3

Côté prix, il faut compter entre 3 et 4 livres pour un bol de céréales avec toppings et environ 5 livres pour le Stacked Hot Chocolate, il me semble. En tout, j’en avais eu pour 8 livres à peu près. Clairement, je n’irais pas tous les jours mais justement, je ne vais pas à Londres tous les jours et donc, je me suis fait plaisir 😉 Alors, vous aussi, ça vous donne l’eau à la bouche ?

Pour en savoir plus sur le Cereal Killer Café, c’est sur leur site !

De la conception à la réalisation, eh oui, j’ai réalisé mon propre film en 3 heures top chrono’ à l’Usine de Films Amateurs de Michel Gondry à La Condition Publique, dans le cadre de son passage pour Lille 3000. De l’émerveillement, à la déception, aux frissons en passant par l’amusement, je vous explique tout 😉

L’usine de films amateurs : gratuit et unique

J’ai découvert l’Usine de Films Amateurs lors d’une visite en Avant-première à la Condition Publique (lors d’un week-end spécial Lille 3000 dont je n’ai pas encore eu le temps de vous parler), en compagnie de Florence de la ville de Roubaix et des blogueurs Touristissimo, Voyageurs sans frontières et No-mad land. Tout de suite, nous avions été super enthousiastes sur le projet et tout le monde regrettait de ne pas avoir pu tenter l’expérience… sauf moi car je me suis précipitée pour réserver la semaine d’après 😉 Imaginez, pouvoir réaliser son propre film, en 3 heures, avec des inconnus, dans des décors plus vrais que nature et tout ça gratuitement… l’expérience était trop inédite pour être manquée.

J’ai fait mon propre film !

Le jour-même, je me rends seule à La Condition Publique. J’arrive avec un peu de retard (j’avais prévenu^^), dans un groupe composé de 6 adultes et… 13 enfants. Sur le coup, pour être franche avec vous, je me suis dit « super, en fait je suis tombée sur le groupe façon centre aéré, et je suis la seule personne venue sans accompagnement ». J’étais sceptique et partie pour me dire que je n’allais pas vivre une expérience aussi géniale que ça (c’est important pour la suite que je sois sincère avec cette déception avec vous).

Nous nous rendons dans l’Atelier 1 pour commencer à décider du genre de notre film et du titre. L’usine de films amateurs fonctionne en effet par atelier, avec dans chaque atelier des actions précises à décider dans un temps défini. Au début, on désigne ainsi un preneur de notes, un cadreur – tourneur (qui tourne tout le film) et un contrôleur du temps. Le but est aussi de faire participer tout le monde et c’est ainsi que les choses se passent : tout le monde donne finalement ses idées de titre, de genre, d’histoire, moi y compris.

Atelier 2 : on doit décider du résumé du film, des actions et des personnages. Au fur et à mesure, je commence à discuter avec les gens et je réalise que ce n’est pas un seul groupe, mais un groupe de 4 adultes venus de leur côté, un groupe de 5-6 enfants avec leurs 2 accompagnateurs, et un groupe de 5-6 enfants venus aussi seuls. Peu à peu, je fais connaissance avec les gens et des affinités commencent à se créer, je suis moins sceptique sur l’expérience. Ici encore, chacun est invité à donner son avis, à participer… Notre film est donc un film d’horreur appelé « La ville des zombies » (mon « plus belle la mort » a failli être choisi^^), et dans ce film je tiens le rôle d’une.. policière !

Arrive ensuite le temps de passer aux costumes… et je ne suis plus du tout sceptique. Je plaisante avec les adultes présents mais aussi avec les enfants, on s’entraide, on échange et l’accompagnatrice de La Condition Publique, Mathilde, n’hésite pas à nous aiguiller un peu quand il y en a besoin.

Pour le tournage, nous avons une heure et ça passe à un temps record surtout qu’il  n’y aura pas de post-production, il faut donc se contenter d’une scène à chaque fois. Pas le temps de s’ennuyer, presque 3 heures se sont écoulées et nous voilà dans une petite salle à regarder le film… Beaucoup de rires, de l’émotion, des belles séquences, des séquences moins belles, mais surtout un vrai moment de partage et de convivialité. Finalement, mon expérience ne s’est pas déroulée comme je le pensais… mais la surprise n’en a été que plus belle. Je me suis amusée et laissée emporter par l’imprévu, et je vous conseille à tous d’y aller les yeux fermés !

Tous les décors de l’Usine de Films Amateurs

L’Usine de Films Amateurs – La Condition Publique

– POUR TOURNER VOTRE FILM : départs toutes les heures
durée du tournage : 3h | Groupes de 10/15 personnes | à partir de 8 ans
Réservation fortement conseillée au 03 28 33 48 33 – billetterie@laconditionpublique.com
– OU VISITEZ LES DÉCORS !
Tout public — entrée libre, du mercredi au dimanche de 11h à 19h
(jusqu’à 21h le samedi et le jeudi dès 13h)

Une mer à la température idéale, un soleil omniprésent… on peut dire que j’ai été servie côté baignade en Grèce, malgré une eau très salée. Et c’est particulièrement lors d’une journée pêche et baignade que j’ai pu goûter aux joies du snorkeling avec mon tout nouveau masque et mon appareil photo Olympus Tough TG-4.

Pour commencer la journée, RDV dans la baie de Kefalos sur l’île de Kos, à côté d’Agios Stefanos pour embarquer avec le capitaine Giannis. Première partie du programme : pêche en pleine mer ! Dans des eaux quasiment limpides, nous avons pu nous initier aux joies de la pêche avec un matériel rudimentaire. Pour s’en servir, c’est simple, on lance son plomb dans l’eau, le fil coule avec les appâts et on attend. 

Une méthode simple donc… mais qui n’aura pas porté ses fruits malheureusement. En effet, 0 poisson au programme malgré les deux sessions de pêche. Il faut dire que j’ai trouvé ça moins facile qu’avec une canne à pêche qui permet de mieux distinguer quand « ça mord » ou pas. Mais d’un autre côté, mon côté Brigitte Bardot n’était pas plus mécontente que ça à l’idée de ne pas avoir ôté la vie à un poisson (qui allait être mangé au repas) (pardon pour les veggie-friendly :/ ). Même si j’étais un peu frustrée quand même ! Bientôt l’heure du repas et l’estomac commence à gargouiller, c’est là qu’on accoste sur une petite île privée de la compagnie organisatrice, sur une plage déserte.

Pendant qu’on se baigne, Yannis et son équipage préparent le barbecue avec ce qui a été pêché, de la salade, de la fêta, du souvláki… et qu’est-ce qu’on se régale ! Une semaine de fêta à tous les repas et on ne s’en lasse pas, je vous le dis 😉

Pour la suite de la journée, c’est surtout sous l’eau que ça s’est passé ! Munie de mon Olympus, je me suis décidée à tester sa fonction sous-marine avec un peu d’appréhension (genre « et si je le bousille ? »). Résultat : une Mali’ qui s’éclate sous l’eau et plein de petits poissons pris en photo ! Mais je laisse plutôt les images parler…

C’était la première fois que je testais ce mode, et de manière générale, je l’ai trouvé vachement simple à appréhender (n’étant pas experte) et je trouve que ça ajoute un petit quelque chose aux plongées de pouvoir prendre ce qu’on voit en photo. Et c’était l’occasion de quelques petits délires 😉

Bref, première expérience de pseudo-snorkeling (sans le tuba, j’étais pas encore prête^^) réussie, je suis rentrée de cette journée le sourire aux lèvres. Pour cette excursion, j’avais payé 43 euros en passant par Marmara mais sachez qu’elle est aussi proposée directement par le prestataire. Si vous recherchez une activité à faire à Kos, franchement, je vous recommande cette journée pêche et baignade avec un équipage au top et que du bonheur 😉

Et mon avis sur l’Olympus Tough TG4 alors ?

Les photos prises dans cet article ont été réalisées dans le cadre d’un prêt de l’Olympus Tough- TG4, particulièrement avec le mode sous-marin qui a largement tenu ses promesses. N’étant pas spécialiste, je me vois mal vous faire une présentation complète de l’appareil car justement, j’ai choisi cet appareil pour son côté abordable.

Ce que j’ai aimé le plus ? Le mode sous-marin était parfait et m’a permis de réaliser de chouettes photos (même si je n’étais pas rassurée au début), l’appareil est robuste, il résiste à tout et possède plusieurs modes qui permettent vraiment de jouer avec différents contrastes de lumières (comme ici avec mon article sur la parade de Lille Renaissance). Clairement, j’hésite beaucoup à me l’acheter car il reste à un bon prix (environ 300 euros) et permet de varier beaucoup les modes.